My Heart Will Go On
Every night in my dreams I see you, I feel you, That is how I know
you go on
Far across the distance And spaces between us You have
come to show you go on
Near, far, wherever you are I believe that the
heart does go on Once more you open the door And youre here in my
heart And my heart will go on and on
Love can touch us one time And
last for a lifetime And never let go till were gone
Love was when I
loved you One true time I hold to In my life well always go
on
Near, far, wherever you are I believe that the heart does go
on Once more you open the door And youre here in my heart And my heart
will go on and on
Youre here, theres nothing I fear, And I know that
my heart will go on Well stay forever this way You are safe in my
heart And my heart will go on and on
Et S'il N'en Restait Qu'une (Je Serais
Celle-la)
Et s'il n'en restait qu'une Pour jouer son
bonheur Et miser sa fortune Sur le rouge du coeur
Pour accepter les
larmes Accepter nuit et jour De se livrer sans armes Aux griffes de
l'amour
Et s'il n'en restait qu'une À n'être pas blasée Et pleurer
pour des prûnes Sur un vieux canapé
Oui, s'il n'en restait
qu'une Pour l'amour cinéma Oui, s'il en restait qu'une Je serais
celle-là
Et, s'il n'en restait qu'une Pour aller bravement Rêver au
clair de lune Au bras de son amant
Et pour avoir l'audace De
confier en été À l'étoile qui passe Des voeux d'éternité
S'il n'en
restait qu'une Pour bêtement tracer Sur le sable des dunes Deux coeurs
entrelacés
Oui, s'il n'en restait qu'une Pour l'amour grand
format Oui, s'il n'en restait qu'une Je serais celle là
Et s'il
n'en restait qu'une Pour oser affimer Qu'il n'est pire infortune Que de
ne pas aimer
Te suivre au bout du monde Sans questions sans
contrat Je serais celle-là
Et S'il n'en restait qu'une Pour envier
le manège Où les uns et les unes Depuis toujours se piègent
Pour
envier leurs folies Leurs excès, leurs tracas Je serais celle-là Je
serais celle-là
Et s'il n'en restait qu'une Pour chercher sans
pudeur Une épaule opportune Où cacher son bonheur
Et s'il n'en
restait qu'une Pour l'amour à tout va Oui, s'il n'en restait qu'une Je
serais celle-là
À Cause
On s'est aimé à cause, À cause de la
vie À cause des grands rêves que nous avions bâtis Autour d'Adam et Ève et
de leur Paradis
On s'est aimé à cause, à cause d'un instant À cause
d'une ambiance, d'un lieu et d'un moment Et des lambeaux d'enfance, collés à
nos vingt ans
On s'est aimé à cause, à cause Mais aujourd'hui, tant de
choses ont changées On s'est aimé à cause, à cause Et maintenant, il faut
s'aimer malgré
Il faut s'aimer malgré, malgré le temps perdu Malgré
tous les grands rêves dont on est revenus Comme Adam et comme Ève du Paradis
perdu
Il faut s'aimer malgré, même malgré le pire Malgré les
stratégèmes de nos corps sans désirs Malgré tous nos problèmes, malgré nos
souvenirs
On s'est aimé à cause, à cause Mais aujourd'hui, tant de
choses ont changées On s'est aimé à cause, à cause Et maintenant, il faut
s'aimer malgré
Il faut s'aimer malgré, malgré beaucoup de choses Mais
maintenant vois-tu on ne peut ignorer Que l'amour se transforme et son
apothéose C'est quand on aime à cause, à cause des malgrés
On s'est
aimé à cause, à cause Et maintenant, il faut s'aimer malgré Mais
aujourd'hui, tant de choses ont changées On s'est aimé à cause, à
cause Oui maintenant, il faut s'aimer malgré
Immensité
J'ai vu l'Oural et le Sahara Les
nuits fauves d'une reine de Sabba J'ai vu la Terre, quelques orages Les
océans et ses naufrages
J'ai vu la foule et les silences Les feux de
joie et la souffrance J'ai vu les roses sous la neige Et les grands loups
blancs pris au piège
J'ai vu tomber la pluie d'été Les amants qui
restent sur le quai
Mais ce qui m'étonne tu sais C'est tout l'éclat de
nos baisers Tous les désirs, tous les sursauts Comme des étoiles sur ta
peau Comme... l'immensité
J'ai vu les anges et les démons Les yeux
baissés et les sermons J'ai vu les ombres et la lumière D'une femme seule
et guerrière
J'ai vu les flots et les rochers Les révélations et les
secrets J'ai vu les vastes Amériques Et tous les mirages de
l'Afrique
J'ai vu l'azur et les glaciers Se confondre et puis se
briser
Mais ce qui m'étonne tu sais C'est tout l'éclat de nos
baisers Tous les désirs, tous les sursauts Comme des étoiles sur ta
peau Comme... l'immensité
J'ai vu l'enfance et l'ivresse La vie qui
sourit et la tristesse La misère d'un monde incensé J'ai vu des hommes
tomber Et sous mes yeux se relever
J'ai vu le froid, j'ai vu la
transe Le rire de notre fils qui danse J'ai reconnu ses yeux dorés Oh!,
comme il te ressemblait J'ai vu les lys et les orchidées Cachés dans mon
jardin secret
Mais ce qui me renverse tu sais C'est tout l'éclat de tes
baisers Tous les désirs, tous les sursauts Comme des étoiles sur ma
peau Comme... l'immensité
Comme la douceur de tes baisers Tous les
désirs, tous les sursauts Comme des étoiles sur ma peau Comme
l'immensité
Je Cherche L'Ombre
Je cherche l'ombre, pour
danser avec toi mon amour Sur ces musiques anciennes qui reviennent en
mémoire Quand le soleil s'éteint et que revient le soir
Je cherche
l'ombre, pour nous mettre à l'abri mon amour Pour découvir ton corps, loin de
toute lumière Et pour t'aimer encore comme une étrangère
Je cherche
l'ombre, pour éteindre le feu mon amour Qui dévore mon âme et brûle dans mes
veines De ce désir infâme qui en moi se déchaîne
Je cherche l'ombre,
pour pleurer avec toi mon amour Sur cette vie trop courte qui file entre nos
doigts Et qui mange les jours en m'éloignant de toi
Je cherche
l'ombre
Je cherche l'ombre, comme on cherche un ami mon amour Qui nous
prendra la main, sans larmes, sans chagrin Pour nous conduire ailleurs,
cacher notre bonheur
Cacher notre bonheur
Et je cherche
l'ombre Et je cherche l'ombre Je cherche l'ombre...
Les Paradis
Sous mes yeux, les sables
d'argent Prête-moi quelqu'un qui te ressemble tant Comme un voyage d'un
soir La nuit de Lynch se ferment sur moi Les paradis sont pleins de
toi Les paradis sont pleins de toi
C'est une voix qui appelle C'est
un corps étranger Un nouveau monde où je me noies Lire entre les lignes,
double et sépare Les paradis sont loins de moi Les paradis sont loins de
moi
Partir n'est pas quitter Le premier amour est le dernier Les
paradis ne sont pas sur Terre Je veux retrouver la lumière
Crois ce
qui est, crois ce qui n'est pas Les jours fragiles sont infinis La vie m'a
tout appris Les paradis ne sont pas d'ici Les paradis ne sont pas
d'ici
Partir n'est pas quitter Le premier amour est le dernier Les
paradis ne sont pas sur Terre Je suis comme un soldat qui espère Les
paradis ne sont pas sur Terre Je veux retrouver la lumière
Le fil de
nos yeux Ce silence qu'on entendait à deux C'est toute ta force qui me
sert Je roule vers Mulholland après la mer Les paradis ne sont pas sur
Terre
Les paradis... Les paradis ne sont pas sur Terre Les paradis
ne sont pas sur Terre Les paradis ne sont pas sur Terre Les paradis ne
sont pas sur Terre Les paradis ne sont pas sur Terre Les paradis ne sont
pas sur Terre
La Diva
La nuit quand je m'éveille dans mon
désert de gloire Je songe très souvent à la diva en moi Celle qu'on
adorait et qui se détestait La femme dont la voix résonne à tout
jamais
Tous les bravos du monde N'ont pas pu secourir Maria la
Magnifique Qui s'est laissé mourrir
J'avoue que certains soirs quand
la foule applaudit C'est à elle que je pense à qui je dis 'merci' Il faut
avoir gravi les sommets de silence Pour sentir la douleur de sa
désespérance Et pour avoir chanté jusqu'au bout de mon âme Je me suis
reconnu à travers cette femme
Tous les bravos du monde N'ont pas pu
secourir Maria la Magnifique Qui n'a su que souffrir
J'avoue que
certains soirs quand je suis sur la scène J'aimerais que ma voix se confonde
à la sienne
Tous les bravos du monde N'ont pas pu appaiser Maria la
Magnifique La diva écorchée
Quand je fuis les lumières la nuit quand
tout s'efface Surgit dans le désert l'ombre de la Callas
Femme Comme Chacune
Je voudrais saisir dans mes
mains Tous ces parfums qui se confondent Tous ces échos qui se
répondent Et qui ne seront plus demain
Je voudrais presser sur ma
bouche L'enivrante moiteur du soir À qui je souris sans la voir La
brise qui passe et me touche
Revenir dans mes bras la nuit L'indolente
et voluptueuse La vie comblée je suis chanteuse Qui me poursuit et me
séduit
Avec ses yeux de clair de lune Où je vois le rêve passer Et
puis malgré que nous sommes pressés La nuit, femme comme chacune Femme
comme chacune
Savoir où se couche le vent Et partir pour aller le
surprendre Dans quelques vallons d'herbe tendre Où les mousses font un
divan
À voir la couleur du silence S'il est plus profond qu'il n'est
grand Voir les tons apaisés qu'il prend Avec ses multiples
nuances
Revenir dans mes bras la nuit L'indolente et voluptueuse La
vie comblée je suis chanteuse Qui me poursuit et me séduit
Avec ses
yeux de clair de lune Où je vois le rêve passer Et puis malgré que nous
sommes pressés La nuit, femme comme chacune Femme comme
chacune
Femme comme chacune Femme comme chacune Femme comme
chacune
Revenir dans mes bras la nuit L'indolente et voluptueuse La
vie comblée je suis chanteuse Qui me poursuit et me séduit
Avec ses
yeux de clair de lune Où je vois le rêve passer Et puis malgré que nous
sommes pressés La nuit, femme comme chacune Femme comme
chacune
Revenir dans mes bras la nuit L'indolente et voluptueuse La
vie comblée je suis chanteuse Qui me poursuit et me séduit
Avec ses
yeux de clair de lune Où je vois le rêve passer Et puis malgré que nous
sommes pressés La nuit, femme comme chacune Femme comme
chacune
Revenir dans mes bras la nuit L'indolente et
voluptueuse...
Si J'étais Quelqu'un
Si j'étais quelqu'un Mon
esprit serait roi, comme les autres Je regarderais passer un train
Si
j'étais quelqu'un Je partirais loin dans la vie Je partirais loin dans la
vie
Et si j'étais quelqu'un Je rirais souvent, comme les autres Je
penserais à toi
Si j'étais quelqu'un L'amour me jouerait des
tours Mon regard se donnerait à ton bonheur fou
La bise soufflerait
dans les arbres en fleurs Les anges sauteront en folie Comme pour attraper
des coeurs Suspendus à l'échelle de l'infini
Oh si j'étais
quelqu'un Oh, si j'étais quelqu'un
Si j'étais quelqu'un Je serais
dans un nuage, comme les autres Je dormirais comme un sage
Si j'étais
quelqu'un Noir ou blanc, comme les autres Je serais comme toi
Je
redécouvrirais le monde Je le peindrais à ma façon Sur mes pages en
désordre Comme pour dessiner un ballon Que je t'envoies à la figure Que
je t'envoies à la figure
Oh si j'étais quelqu'un
Si j'étais
quelqu'un Je t'aimerais passionnément, comme les autres Si j'étais
quelqu'un comme les autres
Quelqu'un comme les autres Quelqu'un comme
les autres Quelqu'un comme les autres Quelqu'un comme les autres Comme
les autres Quelqu'un comme les autres
Je Ne Suis Pas Celle
Je ne suis pas celle que
les lumières éclairent Je ne suis pas celle qui change avec le temps Si
malgré tout je suis resté la même C'est pour approcher mes rêves
d'enfant
Je voulais un homme, un seul pour danser Je voulais chanter
pour enchanter Je voulais des nuits plus longues que les jours Avant que
tu t'en ailles, je voulais toujours
Je ne suis pas celle que tu
crois Je ne suis pas celle-là et pour toi Je ne suis pas celle que tu
vois Que l'on raconte, il faut que tu me croies Je ne suis pas cette
fille-là
Je voulais une cheminée pour nous réchauffer Un grand lit
pour dormir contre lui blottie Je voulais apprivoiser les oiseaux des
forêts Entendre chahuter les enfants attendris
Je voulais là leur
apprendre l'allégresse Taper avec eux sur des boîtes à sardines Je voulais
envoyer des messages de tendresse Un peu d'amour, sur la Terre
oisive
Je ne suis pas celle que tu crois Je ne suis pas celle-là et
pour toi Je ne suis pas celle que tu vois Que l'on raconte, il faut que tu
me croies
Je ne suis pas celle que tu crois Je ne suis pas celle-là,
écoute-moi Je ne suis pas cette fille-là Cette fille-là Cette
fille-là
Le Temps Qui Compte
Les heures de gloire
rhytmées de doutes Le prix que ça coute Pour toujours vouloir La voix
qui vacille, qui scintille La salle remplie d'un amour si grand Si fort
qu'il me porte, me soulève, me prend Qu'importe la note, chanter,
s'aimer
Le temps qui compte est toujours compté Qu'il soit gagné,
qu'il soit gaspillé En rires qui coulent, en vies qui déboulent Le temps
qui compte est toujours compté
Il nous martelle et presse le tempo Le
temps m'appelle, il a dix ans bientôt Il prend la vie, la saisie et s'en
va Le temps qui compte est toujours compté
Et mon amour si
malmené, Mis en danger, par les années Années de trop qui m'ont
volé Combien d'instants, d'heures et de jours
J'ai rusé avec les
mots Mes chansons hurlaient ton nom Couplets de passion T'aimer,
c'était chanter
Le temps qui compte est toujours compté Qu'il soit
gagné, qu'il soit gaspillé En rires qui coulent, en vies qui déboulent Le
temps qui compte est toujours compté
Il nous martelle et presse le
tempo Le temps m'appelle, il a dix ans bientôt Il prend la vie, la saisie
et s'en va Le temps qui compte ne nous attends pas
Et la vie glisse
sur l'eau du temps La vie résiste, prend son élan Pour un baiser elle peut
se poser Le temps qui compte est toujours compté
Un seul baiser et la
vie s'en va Le temps qui compte ne nous attends pas Même avec toi, même
avec passion Le temps qui compte ne dure qu'une chanson
Lettre De George Sand A Alfred De Musset
Venise,
12 mai 1834
Non, mon enfant chéri Ces trois lettres ne sont pas Le
dernier serment de main de l'amant qui te quitte C'est l'embrassement du
frère qui te reste Ce sentiment là est trop beau, trop pur et trop
doux Pour que j'éprouve jamais le besoin d'en finir avec lui Que mon
souvenir n'empoisonne aucune des jouissances de ta vie Mais ne laisse pas ces
jouissances détruire et mépriser mon souvenir Sois heureux, sois aimé,
comment ne le serais-tu pas? Mais garde-moi dans un petit coin secret de ton
coeur Et descends-y dans tes jours de tristesse Pour y trouver une
consolation ou un encouragement
Aime aurant qu'on maltraite Aime pour
tout de bon Aime une femme, jeune et belle Et qui n'ait pas encore
aimé
Ménage-la, et ne la fait pas souffrir Le coeur d'une femme est
une chose si délicate
Quand ce n'est pas un glaçon ou une pierre Je
crois qu'il n'y a guère de milieu Et il n'y en pas non plus Dans ta
manière d'aimer
Ton âme est faite pour aimer ardamment Ou pour se
désécher tout à fait Tu l'as dit cent fois Et tu as eu beau t'en
dédire
Rien, rien n'a effacé cette sentence-là Il n'y a au monde que
l'amour Qui soit quelquechose Peut-être m'as-tu aimé avec haine Pour
aimer une autre avec abandon Peut-être celle qui viendra T'aimera-t-elle
moins que moi Et peut-être sera-t-elle plus heureuse Et plus
aimée
Peut-être ton dernier amour Sera-t-il le plus romanesque et le
plus jeune Mais ton coeur, mais ton bon coeur, ne le tue pas je t'en
prie Qu'il se mette tout entier dans tous les amours de ta vie Afin qu'un
jour tu puisse regarder en arrière et dire comme moi "J'ai souffert souvent,
je me suis trompé quelques fois... mais j'ai aimé"
On S'est Aimé À Cause
On s'est aimé à cause, à
cause de l'été Qui peignait tout en rose, l'amour et la cité À cause des
grands rêves que nous avions bâtis Autour d'Adam et d'Ève et de leur
Paradis
À cause de l'ambiance, du lieu et du moment Et des lambeaux
d'enfance, collés à nos vingt ans On s'est aimé à cause, à cause, à cause, à
cause
Mais maintenant, vois-tu, on ne peut ignorer Qu'il nous faut
voir un peu différemment les choses On s'est aimé à cause, il faut s'aimer
malgré
Malgré, malgré la pluie, tombant sur nos étés Malgré le ciel de
suie et les jours sans clarté Malgré tous les grands rêves dont on est
revenus Comme Adam et comme Ève du Paradis perdu
Malgré les
clairvoyances de nos coeurs indulgeants Malgré l'accoutumance tissée au fil
des ans On s'est aimé à cause, à cause, à cause, à cause
Mais
maintenant vois-tu, on ne peut ignorer Qu'il nous faut voir un peu
différemment les choses On s'est aimé à cause
À cause de l'ambiance,
du lieu et du moment Et des lambeaux d'enfance, collés à nos vingt ans On
s'est aimé à cause, à cause, à cause, à cause
Mais maintenant vois-tu, on
ne peut ignorer Qu'il nous faut voir un peu différemment les choses On s'est
aimé à cause, oh! il faut s'aimer malgré
Malgré beaucoup de
choses Mais maintenant vois-tu, on ne peut ignorer Que l'amour se
transforme et son apothéose C'est quand on aime à cause, à cause des
malgrés
Berceuse
Chut!, Chut!, faut pas te
réveiller Je voulais juste t'embrasser Te regarder encore une fois Pour
t'emporter avec moi Là où je vais... chanter
Maman t'aime, maman
t'aime Maman t'aime, maman t'aime
Surtout ne me regarde pas Surtout
ne me tends pas les bras Ne pleure, ne pleure surtout pas Je vais rester,
mais je ne peux pas Je ne peux pas...
Maman t'aime, maman
t'aime Maman t'aime, maman t'aime Maman t'aime, maman t'aime Maman
t'aime, maman t'aime
Oh!, que je t'aime Je sais, je te fais de la
peine Je t'amène avec moi sur scène Et si le public m'ovationne C'est
parce que t'es avec moi Mon homme
Maman t'aime, je t'aime
Miracle
You're my life's one
Miracle, Everything I've done that's good And you break my heart with
tenderness, And I confess it's true I never knew a love like this till
you....
You're the reason I was born Now I finally know for
sure And I'm overwhelmed with happiness So blessed to hold you
close The one that I love most With all the future has so much for you in
store Who could ever love you more?
The nearest thing to
heaven, You're my angel from above Only God creates such perfect
looooove
When you smile at me, I cry And to save your life I'll
die With a romance that is pure heart, You are my dearest part
Whatever it requires, I live for your desires Forget my own, needs
will come before Who could ever love you more?
Well there is nothing
you could ever do, To make me stop, loving you And every breath I take,
Is always for your sake You sleep inside my dreams and know for
sure Who could ever love you more?
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